La différence n’est pas seulement dans l’emploi du temps, mais dans la façon de voir la vie, dans les priorités qu’on donne aux choses.
Les premiers décident : ils inscrivent ce qui compte dans leur agenda avant tout le reste, et donc dédient un moment dans la journée à ce qui compte vraiment pour eux.
Les seconds subissent : ils laissent ce qu’ils considèrent comme leurs priorités se glisser dans les interstices laissés par le quotidien.
Prendre le temps, c’est dire : “Ça compte, alors je le fais maintenant.”
Faire quand on a le temps, c’est accepter que ce qui compte dépende de la météo, de l’humeur ou des urgences des autres.
À l’heure où toutes les routines sont chamboulées, où les choses à faire s’entassent dans les to-do lists ou dans un coin du cerveau, il est important de connaître ses priorités et de continuer à exécuter.
Les jours passent pour tout le monde. Mais les vies se construisent différemment. Une brique posée chaque jour fait un mur.
Une brique posée quand on y pense fait un tas de briques.